HIV/AIDS campaigners call for revision of HIV law
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More than 10 years after the law on HIV was passed, those involved in the fight against the disease are calling for it to be revised. They believe that the law is obsolete and needs to be updated to take account of new issues. According to Massogui Thiandoum, Executive Director of the National Alliance of Communities for Health (ANCS), the law on HIV needs updating. ‘It is over 10 years old. There have been many advances in the fight against HIV, as well as scientific developments that show that certain aspects of the law need to be updated, or that new issues have emerged that need to be taken into account’, he explains.
A request has been made to this effect. Mr Thiandoum said: ‘We have already contacted the National Assembly to organise a training session to present the limitations of the law and the new scientific advances that it has not taken into account. We will be proposing amendments to MPs to update the law on HIV in Senegal.
He also advocates the decentralisation of HIV care services, saying: ‘We have trained community players, with the support of the health districts, so that they can help the health system to distribute antiretrovirals (ARVs) at community level. In some very remote areas, or depending on the context and particular situations, certain categories of people do not go to health facilities. The mediators we have trained, under the supervision of the health districts, have the responsibility and the opportunity to bring the treatment to these people and provide them with the medicines under the supervision of qualified health professionals’.
Les acteurs de la lutte contre le VIH/Sida demandent une révision de la loi sur le VIH
Plus de 10 ans après le vote de la loi sur le VIH, les acteurs de la lutte contre cette maladie réclament sa révision. Ils estiment que le texte est obsolète et nécessiterait une mise à jour pour prendre en compte les nouvelles problématiques. Selon Massogui Thiandoum, directeur exécutif de l’Alliance nationale des communautés pour la santé (ANCS), la loi sur le VIH nécessite d’être actualisée. “Elle date de plus de 10 ans. Il y a eu beaucoup d’avancées dans la lutte contre le VIH, ainsi que des évolutions scientifiques qui montrent que certains aspects de la loi doivent être mis à jour, ou que de nouvelles problématiques ont émergé et nécessitent d’être prises en compte”, explique-t-il.
Une demande a été formulée en ce sens. M. Thiandoum a déclaré : “Nous avons déjà pris contact avec l’Assemblée nationale pour organiser une session de formation afin de présenter les limites de la loi et les nouvelles avancées scientifiques qu’elle n’a pas prises en compte. Nous proposerons aux députés des modifications pour mettre à jour la loi sur le VIH au Sénégal.
Il plaide également pour la décentralisation des services de prise en charge du VIH, en déclarant : “Nous avons formé des acteurs communautaires, avec l’encadrement des districts sanitaires, pour qu’ils puissent aider le système de santé dans la distribution des antirétroviraux (ARV) au niveau communautaire. Dans certaines zones très éloignées ou en fonction des contextes et des situations particulières, certaines catégories de personnes ne se rendent pas dans les structures de santé. Les médiateurs que nous avons formés, sous l’encadrement des districts sanitaires, ont la responsabilité et la possibilité d’amener le traitement à ces personnes et de leur fournir les médicaments sous la supervision de professionnels de santé qualifiés”.