18 months required for attempted HIV poisoning
On Monday afternoon, the Advocate General requested an 18-month prison sentence against a man who had been accused of attempted poisoning by the AIDS virus.
The accused is being prosecuted for a single prevention, that of attempting to administer deadly substances, in this case the AIDS virus. The Public Prosecutor’s Office requested a sentence of 18 months in prison and a fine of 300 euros, which was pronounced at first instance on 20 October 2015.
On 31 May 2013 in the early morning, a man showed up at a pharmacy on Avenue de la Toison d’Or in Ixelles, demanding urgent treatment against the AIDS virus. He was then admitted to Saint-Pierre hospital where he was examined. The tests were negative for the presence of the virus in his body.
To the police, the man then explained that he had paid an escort boy to have sex. He had gone to this individual, the accused, in a building near the pharmacy where he had been, boulevard de Waterloo in Brussels.
The victim had explained that his partner had told him that he was HIV-positive only after sexual intercourse, which had been unprotected.
The accused, also heard by the investigators, said that he told the victim that he had HIV.
In the first instance, the judge finally adopted the victim’s theory, based in particular on the testimony of the pharmacist who described the victim as being in a state of stress and panic.
Published in La Capitale on March 29, 2017
18 mois requis pour tentative d’empoisonnement par le VIH
L’avocat général a requis, lundi après-midi devant la cour d’appel de Bruxelles, une peine de 18 mois de prison ferme à l’encontre d’un homme prévenu de tentative d’empoisonnement par le virus du sida.
Le prévenu est poursuivi pour une seule prévention, celle d’avoir tenté d’administrer des substances pouvant donner la mort, en l’occurrence le virus du sida. Le parquet général a réclamé une peine de 18 mois de prison ferme et une amende de 300 euros, soit ce qui avait été prononcé en première instance le 20 octobre 2015.
Le 31 mai 2013 en début de matinée, un homme s’était présenté dans une pharmacie de l’avenue de la Toison d’Or à Ixelles, réclamant un traitement urgent contre le virus du sida. Celui-ci avait ensuite été admis à l’hôpital Saint-Pierre où il avait été examiné. Les tests s’étaient révélés négatifs concernant la présence du virus en question dans son organisme.
À la police, cet homme avait ensuite expliqué qu’il avait payé un « escort boy » pour avoir des relations sexuelles. Il s’était rendu chez cet individu, le prévenu, dans un immeuble situé à proximité de la pharmacie où il s’était rendu, boulevard de Waterloo à Bruxelles.
La victime avait expliqué que son partenaire ne lui avait dit qu’il était séropositif qu’après les relations sexuelles, lesquelles avaient été non protégées.
Le prévenu, entendu aussi par les enquêteurs, avait quant à lui affirmé qu’il avait dit à la victime qu’il était atteint du sida.
En première instance, le juge avait finalement retenu la thèse de la victime, se basant notamment sur le témoignage de la pharmacienne qui avait décrit la victime comme étant en état de stress et de panique.